Bonjour,
Vous avez parfaitement le droit de continuer les mises à jour, ainsi que d'aimer le nouvel aspect. Vous ne serez ni censuré ni banni de ce forum pour celà!
Pour ma part j'ai d'abord décidé de ne pas supporter les versions V99x, parce que pour ses évolutions Philippe ne s'est jamais mis à la place de l'utilisateur. Pour être agréable à utiliser, un logiciel doit d'abord être pratique. Il n'y a aucune amélioration dans ce sens bien au contraire.
Je m'en suis longuement expliqué dans des fils de discussions aujourd'hui disparus. C'est la deuxième raison pour laquelle je n'apporterai pas mon aide dans ces "évolutions". Pourquoi répondre à une personne qui supprimera votre réponse si elle ne va pas dans "son sens"?
Au cas où vous ne l'auriez pas constaté, le fil de discussion "V 995" sans doûte trop gênant a purement et simplement été supprimé du forum officiel et remplacé par un autre de même titre.
Entr'autre j'y signalais comme anomalie le message disant "La version de votre base 5111 est trop ancienne. Il faut être en 5.110 minimum". Philippe n'a rien trouvé d'anormal à celà.... avant de tout supprimer. Anomalie qui persiste aujourd'hui.
La troisième raison, elle est dans l'exemple suivant: votre base vient d'être mise à jour en b5.112. Je n'en ai lu nulle part encore la raison, mais je peux au moins vous en donner une. C'est pour règler le problème concernant les villes d'Algérie que j'ai signalé sur ce forum dans
viewtopic.php?t=1Dans le script de cette mise à jour, j'ai retrouvé l'exact copier/coller du code SQL que j'ai mis dans ce message.
Ce qui me choque n'est pas que Philippe ait copié ce code, car en le mettant sur le forum je le mets à la disposition des utilisateurs, mais c'est qu'il ne fasse aucune mention de ses sources, et se les accapare dans un logiciel payant et protégé par sa propre licence.
Et ne parlons pas de politesse élémentaire...
A+
André
Quatrième Loi de Gilb de la Non-Fiabilité.
Un système tendra à grossir dans le sens de la complexité plutôt que de la simplification, jusqu’à ce que l’instabilité résultante devienne intolérable.